"À Louise Colet, Croisset, samedi matin, 8 heures.
Maintenant d’ailleurs j’ai toujours peur d’écrire. (Éprouves-tu ainsi que moi avant de commencer une œuvre une espèce de terreur religieuse et comme une appréhension d’entamer le rêve ?"
Voilà qui fait particulièrement écho pour moi ! ^^
Merci Thierry pour cette découverte. Ce qui me frappe, c’est à la fois sa maturité et ses questionnements incessants sur l’art et l’importance du style. Et bien sur aussi la fièvre avec lequel il se nourrit de tous les grands auteurs qu’il aime. Je découvre la place de Rabelais et de Shakespeare dans son inspiration. Je ne savais pas qu’il traduisait en Anglais, et il a du lire Shakespeare en anglais. C’est très difficile. Cette recherche est un beau travail qui mérite d’être poursuivis
Merci de nous donner en pâture cette belle moisson
je suis marqué dans la lecture par la question du écrire ou cesser d'écrire, par publier ou non, par la recherche de l'union de la forme et du contenu, par l'urgence du travail
Découvrir les fruits de votre travail au petit matin en guise de première nourriture spirituelle est un enchantement qui prend aux tripes ! La main me démange d'imiter Flaubert, ce qui à mon âge est tout de même pathétique, mais la vérité ne se divise pas.
C’est super ce que tu as fait ! Quel bonheur de relire tout cela. D’ailleurs, toute la correspondance de Flaubert est géniale. Vivement la suite et merci pour tout ça ! (Et merci aussi pour l’accolade, c’est si rare !)
"À Louise Colet, Croisset, samedi matin, 8 heures.
Maintenant d’ailleurs j’ai toujours peur d’écrire. (Éprouves-tu ainsi que moi avant de commencer une œuvre une espèce de terreur religieuse et comme une appréhension d’entamer le rêve ?"
Voilà qui fait particulièrement écho pour moi ! ^^
Un grand merci, Thierry.
Et on lira la suite avec un immense intérêt !
Je m’apprêtai à citer précisément la même lettre ! Merci Joëlle, et merci Thierry !
Très intéressant venant d'un tel maître. Et quelle précocité !
Merci Thierry pour cette découverte. Ce qui me frappe, c’est à la fois sa maturité et ses questionnements incessants sur l’art et l’importance du style. Et bien sur aussi la fièvre avec lequel il se nourrit de tous les grands auteurs qu’il aime. Je découvre la place de Rabelais et de Shakespeare dans son inspiration. Je ne savais pas qu’il traduisait en Anglais, et il a du lire Shakespeare en anglais. C’est très difficile. Cette recherche est un beau travail qui mérite d’être poursuivis
Merci de nous donner en pâture cette belle moisson
je suis marqué dans la lecture par la question du écrire ou cesser d'écrire, par publier ou non, par la recherche de l'union de la forme et du contenu, par l'urgence du travail
quelle lucidité déjà chez lui à 24/25 ans !
Merci encore...
au fait, j'ai retenu :
"La vie interne que j’ai toujours rêvée commence enfin à surgir"
Découvrir les fruits de votre travail au petit matin en guise de première nourriture spirituelle est un enchantement qui prend aux tripes ! La main me démange d'imiter Flaubert, ce qui à mon âge est tout de même pathétique, mais la vérité ne se divise pas.
Bravo !!
C’est super ce que tu as fait ! Quel bonheur de relire tout cela. D’ailleurs, toute la correspondance de Flaubert est géniale. Vivement la suite et merci pour tout ça ! (Et merci aussi pour l’accolade, c’est si rare !)
Merci, merci
Connaissez vous la correspondance avec George Sand, en vieille dame débordant de tendresse pour le jeune écrivain hyper sensible?
J’ai lu toute la correspondance… donc oui
Je la connais, elle est magnifique.
merci beaucoup ! j'ai lu avec immense intérêt